L'Age d'homme, précédé de l'Afrique Fantôme

"Un Minutieux bourreau de soi-même"

Il est difficile de lire Leiris sans se sentir happé, « engagé ». Qu’on lise L’Âge d’homme à vingt ans ou beaucoup plus tard, on est pris à la gorge. Georges Bataille l’écrit de façon claire, défin...