Le dynamisme d’associations de professionnels centrées sur cette clinique[1], la créativité des activités éditoriales en la matière[2], ou encore l’intérêt des étudiants de psychologie pour cette spécialisation, en témoignent abondamment. Pourtant, l’existence de ce type de soin dans l’offre proposée par les institutions se réduit et, avec elle, la liberté du choix des traitements pour les familles. Cela pourrait être dû à une double crise : celle que traverse actuellemen...
En état de résistance : le soin psychique aux enfants et aux adolescents
Article publié dans le n°1202 (16 oct. 2018) de Quinzaines
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