« Bosch se trouve au moment critique de la pré-Réforme; son pessimisme le démontre, mais nous n’avons aucune raison de douter de son orthodoxie… » (Enrico Castelli, « Il Demoniaco nell’arte », 1952)
Dans le triptyque qui ouvre la suite du Chariot de foin, au musée du Prado de Madrid, on remarque un personnage isolé qui parcourt le chemin, avec un grand sac sur le dos, sorte de valise où est accrochée une cuillère en bois. Un long bâton de marche se trouve dans sa main droite, avec un chien sans doute qui le suit parmi les os et les crânes d’animau...
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