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Les droits de l’enfant

Une juriste responsable des droits de l’enfant m’interroge : ne faut-il pas reconnaître à l’enfant le « droit » de se revendiquer d’un autre genre que son sexe anatomique ? Ce droit ne devrait-il pas aujourd’hui faire partie des « droits de l’enfant » ? Ne s’agit-il pas là d’une nouvelle possibilité pour l’enfant de se réaliser, qu’il faudrait dorénavant spontanément soutenir puisqu’elle correspondrait à une meilleure reconnaissance de sa singularité ?

Spontanément, dans le cadre de ce qu’il nous faudra bien appeler l’idéologie actuelle, c’est certainement ce qui sera souhaité, au nom précisément des droits de l’enfant et de l’attention au développement de la personnalité de chacun. D’aucuns confirmeront d’ailleurs cette façon de voir les choses en faisant appel à la capacité d’autodétermination de l’enfant.


En fait, il semble bien que cette question soit tributaire de l’évolution des droits qu’aujourd’hui on doit appeler « droits humains » plutôt que « droits de l’homme ». Ces derniers sont apparus d’abord ...

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