Un événement affreux. Il a été condamné à peu près partout dans le monde, et de manière particulièrement poignante par les dessinateurs. Ceux qui ont planifié cette atrocité ont choisi leur cible avec soin. Ils savaient qu’un tel acte susciterait un maximum d’horreur. C’est la qualité qu’ils recherchaient, pas la quantité. La réaction ne les aura ni surpris ni irrités. Ils se fichent totalement de l’univers des incroyants. À la différence des inquisiteurs de la Sorbonne médiévale, ils n’ont pas l’autorité légale ou théologique pour harceler les libraires ou les imprimeurs, interdire les ...
Raccourcis
Article publié dans le n°1122 (16 févr. 2015) de Quinzaines
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