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A masques ouverts

 En janvier 1981, Marc Petit découvre par hasard dans une galerie parisienne d’art primitif – art premier dirait-on aujourd’hui – un masque totalement inédit : travaillé sur une surface en bois quasi plane, il présente une densité expressive remarquable et inédite par rapport aux canons habituels de l’art africain, art connu, répertorié et faisant l’objet d’un marché depuis plusieurs décennies. Il s’agit d’un masque originaire du Népal.

EXPOSITION
Dans le blanc des yeux
Masques primitifs du Népal
Musée du quai Branly, 37 quai Branly, 75007 Paris
jusqu’au 9 janvier 2011

Marc Petit, personnage protéiforme – universitaire, écrivain, artiste et collectionneur – est intrigué et fasciné par cette découverte, présentée à l’époque comme « masque chamanique » ; il se met en tête d’explorer cette terra incognita des arts primitifs, l’art tribal de l’Himalaya, pourtant rejeté à la marge, trop brut et brutal pour avoir une quelconque valeur – esthétique, ethnologique et dès lors marchande. C’est le début d’une longue quête qui le conduira à de nombreuses reprises au Népal pour chercher, comprendre et recueillir des objets hors du commun. Démarche inédite ...

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