« Écrire sur la musique est comme danser sur l'architecture », aurait dit avec dérision Elvis Costello (lequel prête le propos à Martin Dull). Serait-ce oublier les aspirations à l’art total, à l’orphisme, ainsi que – plus généralement – les facultés synesthésiques de l’être humain ? Qu’on trouve leurs écrits bons ou mauvais (là n’est pas la question, d’ailleurs), tant de critiques et écrivains ne peuvent s’empêcher d’écrire sur la musique. À quoi répond ce besoin des passeurs de musique ? Est-ce un besoin d’historien, un besoin d’aborder la musique à travers d’autres chemins (c...
Allez la musique !
Article publié dans le n°1196 (16 juin 2018) de Quinzaines
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