A lire aussi

Chambres en tous genres

La chambre est aussi politique…

Quelques chambres d’exception sont passées à la postérité, et généralement pour avoir ostensiblement démérité. On sait, dans le désordre, que la chambre de 1936 remit les pleins-pouvoirs à Pétain, que la chambre bleu-horizon de 1919 écrasa les mouvements populaires qui disaient l’espoir possible au lendemain de la « der des ders » et que la chambre des chéquards du scandale de Panamá (1892) éclaboussa toute la classe politique républicaine, Clemenceau en tête. De petits et de gros sous avaient arrosé le personnel politique et plus encore les « hommes doubles », ceux qui avaient leur prop...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine