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Chronique d’une année "ordinaire"

L’historien de l’Antiquité qui souhaite écrire l’histoire d’une année en particulier est confronté à un véritable défi. Le nombre limité de sources conservées, qu’elles soient littéraires ou archéologiques, ajouté au fait que les documents ne peuvent parfois pas être datés avec précision rend l’entreprise délicate, et en tous les cas, rarissime.
Giusto Traina
428 - Une année ordinaire à la fin de l’empire romain (428 dopo Cristo. Storia di un anno)

Dans son ouvrage de 2007 récemment traduit en français et en anglais, 428. Une année ordinaire à la fin de l’empire romain, Giusto Traina, professeur d’histoire ancienne à l’université de Rouen, ajoute à l’exercice une difficulté supplémentaire. Il choisit pour sujet, non une de ces années que l’historiographie a désignées comme « charnière » entre deux périodes, à l’instar des célèbres années 476, 1492 ou 1789, mais une année « ordinaire », avec son lot de royaumes déchus (la chute du royaume d’Arménie), ses invasions barbares (les Vandales se préparent depuis l’Espagne à conqu...

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