Je viens de passer deux semaines avec Sartre, je veux dire avec les 1 650 pages de la « Pléiade » intitulées Les Mots et autres écrits autobiographiques.
Désormais je connais mieux l’écrivain-philosophe dont je fus le contemporain – j’avais six ans de moins que lui – et même dont je fus proche en au moins deux occasions : lors de la constitution par lui en 1941 du groupe « résistant » « Socialisme et liberté » (j’étais l’un des cinq membres de son propre groupe et nous nous sommes réunis les deux premières fois chez moi), et, en second lieu lors de la consti...
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