Le nom de Jacques Lemarchand ne dira pas grand-chose à nos lecteurs nés après la guerre. Sauf à ceux qui, avec notre amie Monique Le Roux, ont affaire avec le théâtre et qui ont lu, plus ou moins récemment, certain recueil des chroniques dramatiques du critique de Combat, puis du Figaro, de 1954 à 1972. Critique apprécié pour la pertinence de ses jugements, son indépendance, Jacques Lemarchand meurt en février 1974.
Il avait publié, avant la guerre et durant l’Occupation, trois romans, dont un, Geneviève, vient d’être réédité, mais ce n’est pas au titre ...
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