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L’idiotie de cinéma

Pierre-Julien Marest est critique de cinéma (il a notamment travaillé pour « Télérama »). Par ailleurs, il édite des textes en lien avec le septième art. Par le biais des éditions Marest, il a pu publier des recueils de textes inédits d’Alfred Hitchcock, l’autobiographie de John Boorman, le « Movie Journal » de Jonas Mekas ou encore le premier roman de Séverine Danflous, « Brune platine ». Il propose ici une approche transversale du discours du cinéma sur l’idiot et l’idiotie.

Pour la plupart d’entre nous, l’idiotie est synonyme de stupidité. Des héros de Dumb and Dumber (des frères Farelly) à l’idiotie non moins profonde de Wayne’s World (Penelope Spheeris), celle au grand cœur (tel Bourvil dans la plupart de ses rôles) ou celle qui entraîne la sympathie (le cinéma des frères Coen regorge de figures d’imbéciles : ainsi la quasi-totalité des protagonistes de The Big Lebowski, pour ne citer que lui) ou encore, dans un autre registre, celle de Michael O’Hara, le héros de La Dame de Shanghai, qui ne cesse de se lamenter au suje...

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