Depuis une trentaine d’années que ces réflexions ont été écrites – avant même que ne soit popularisé le mot bioéthique, la situation a beaucoup évolué. La biotechnique a, en la matière, progressé à pas de géant et à une cadence que l’on n’ose dire infernale. Certains en déduiraient volontiers qu’une pensée qui s’est élaborée il y a si longtemps doit être frappée de péremption. Ils en verraient une preuve dans le fait que les lois de bioéthique sont conçues comme devant être périodiquement révisées alors que le propre d’une loi est de fixer des principes, lesquels devraient reste...
Le glaive et la charrue
Article publié dans le n°1069 (01 oct. 2012) de Quinzaines
L'art médical et la responsabilité humaine
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