À sa manière aussi Cédric Lagandré pourrait parler d’une « fin du monde (1) » mais c’est d’une autre mythologie qu’il part, celle qu’avaient élaborée les anciens Grecs à propos du destin des morts ordinaires. Ceux qui avaient accompli des exploits mémorables pouvaient espérer bénéficier du séjour des bienheureux aux champs Élysées ; ceux qui avaient commis des abominations avaient tout lieu de craindre d’être relégués au Tartare. Quant à la masse de ceux qui « de toute leur vie, n’ont rien fait d’exceptionnel, c’est-à-dire dont l’existence, sitôt qu’elle a cessé, a ce...
Le mondial n'est pas le mondain
Article publié dans le n°1077 (01 févr. 2013) de Quinzaines
La plaine des Asphodèles. Ou le monde à refaire
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