Jusqu’ici celui qui voulait lire le Journal de Larbaud était voué à un travail de recherche qui demandait une ténacité de bénédictin : de son vivant l’écrivain en publia des pages en revues, des sections en éditions limitées, avant d’autoriser finalement une édition en volume à paraître dans les œuvres complètes, quelques années avant sa mort. Par la suite, plusieurs éditions, toujours partielles, virent le jour, et, tout comme celles faite du vivant de leur auteur, celles-ci étaient l’œuvre de petits éditeurs, larbaldiens incorrigibles (1). Et de nombreuses pages étaient e...
Le Journal de Valery Larbaud au complet (1600 pages)
Article publié dans le n°998 (01 sept. 2009) de Quinzaines
Journal
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