Sur le même sujet

Les aventures de Bernard Hoepffner

Bernard Hœpffner est un homme qui n’a pas peur des mots. Depuis vingt-cinq ans, il traduit les textes canoniques de la littérature anglo-saxonne (Shakespeare, Twain, Browne…), mais s’attache surtout à faire connaître et reconnaître les grands prosateurs américains de notre temps, tels Sorrentino ou Davenport, en mettant sa plume virtuose au service d’auteurs qui forgent une littérature contemporaine. Portrait d’un traducteur.

Santiago Artozqui – Vous vous battez pour une certaine idée de la littérature, n’est-ce pas ?


Bernard Hœpffner – Oui, mais à divers degrés, sur divers plans. On pourrait bien sûr parler des aspects politiques, qui sont importants pour moi. Je travaille avec la revue et les éditions Agone, à Marseille, pour qui j’ai traduit deux recueils d’essais d’Orwell. J’ai aussi choisi de publier chez eux les textes politiques de Mark Twain, parce qu’ils ont des idées dans lesquelles je me retrouve : le refus de la logique marketing, l’autogestion… Cependant, l...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine

Vous aimerez aussi