Quelle bonne idée elle a eue de rassembler ces textes personnels de femmes du XVIIIe siècle, malgré ce qu’affirme ce grincheux de Rousseau qui écrit dans sa Lettre à d’Alembert en 1758 : « ce feu céleste qui échauffe et embrase l’âme, ce génie qui consume et dévore, cette brûlante éloquence, ces transports sublimes qui portent le ravissement jusqu’au fond des cœurs, manqueront toujours aux écrits de femmes : ils sont tous froids et jolis comme elles ». L’éditrice de ces mémoires et journaux féminins, dont seuls les Souvenirs de Félicie de ...
Les femmes du XVIIIe siècle au miroir de leurs écrits personnels
Article publié dans le n°1081 (01 avril 2013) de Quinzaines
La Fabrique de l'intime
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