L’auteur, dix ans après, se crypte lui-même dans son effort de décryptage de Derrida : double cryptage, donc, qui se donne comme une explication (la fameuse Auseinandersetzung) avec le maître qui entend arrêter « la spéculation infinie du disciple sur le maître », sans s’épuiser dans « le commentaire mimétique [Jacob Rogozinski va s’employer plutôt à porter sa « contre-signature » sur le corpus derridien selon l’expression même dont usait Derrida pour désigner le type de commentaire qu’il voulait pratiquer (1)] ou la réfutation...
Lumière de l'obscur
Article publié dans le n°1116 (16 nov. 2014) de Quinzaines
Cryptes de Derrida
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