Nous le savons depuis Foucault, la critique est apparentée à la vertu (1). Mais en quoi consiste cette dernière ? Il semble que Maurice Nadeau, dans toute son œuvre, ait cherché la réponse et lui ait donné un nom : la clarté. La question rebondit : qu’est-ce que la clarté critique ? La clarté du et de la critique ?
La clarté apparaît d’abord dans l’écriture personnelle de Nadeau comme dans les exigences qu’il impose à ses collaborateurs, à la manière d’une injonction intraitable. Injonction qui m’est apparue parfois, je le confesse, comme une limite, l’expressio...
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