Dans cette architecture tout à fait superbe, due à Frank Gehry et datant de 1997, on découvre plus de deux cents œuvres d’Henri Michaux (1899-1984) : gouaches, pastels, encres de Chine, acryliques, assortis de documents… Dans la première salle, quelques bois africains ou océaniens, originaires de Papouasie-Nouvelle-Guinée, de Bornéo, de Sumatra, qui ont fasciné tous les maîtres du début du XXe siècle, depuis Apollinaire jusqu’à Picasso. Trois grandes parties constituent l’ensemble : la figure humaine, l’alphabet et la psyché altérée.
Manuel Cirauqui a voulu montrer l’i...
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)