Au départ, il est question d’une souffrance, de l’attraction de la mort, d’une brisure, d’un sentiment de perte, d’une douleur, d’une désorientation, d’un ébranlement, d’avoir « frôlé la fin de tout ». Cela, qui est arrivé à Frédéric Boyer et dont il est « sorti sur les rives de l’Arno », notre monde contemporain a tendance à le classer dans le grand fourre-tout de la « dépression ». Et à l’évacuer chimiquement.
« Et ce bruit, vous devez l’avoir entendu au moins une fois dans votre vie, ce bruit sourd des armures imaginaires qui tombent. Titres, pos...
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