MANUEL RIVAS
L’ÉCLAT DANS L’ABÎME. Mémoires d’un autodafé
Alors même qu’on assiste à l’éprouvante « rentrée littéraire », où s’accumulent les dissertations thématiques, alors même que la littérature européenne et nord-américaine n’est plus, sauf exceptions, qu’une production pour talk-shows, on est franchement surpris, heureux, réconforté, de se colleter avec L’Éclat dans l’Abîme. Ce n’est pas un roman qu’on lit en un week-end, ce n’est pas un roman qui nous raconte ce qu’on sait déjà, il ne patauge ni dans la sentimentalité, ni da...
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