Depuis trente ans, Éric Holder alternait nouvelles et romans. Parmi ces derniers, ma préférence va à L’Homme de chevet. On y suit un ex-boxeur légèrement dipsomane qui s’occupe d’une jeune Asiatique devenue tétraplégique à la suite d’un accident de voiture. On rencontre une première fois La Chinoise dans la nouvelle portant ce titre, publiée dix ans plus tôt ; une réussite, où la vitesse épaule la beauté.
Ses livres témoignaient d’une sensibilité qui, par pudeur extrême ou habile immodestie, se manifestait principalement sous forme de délicatesse intelligente (c...
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