Ce qui retient d’abord, c’est la continuité de l’œuvre. Ainsi, dans un de ses rêves, le lit du personnage au centre du récit, Bart glisse « pour s’engager sur la falaise qui côtoyait sa chambre », rêve proche d’un « conte » de Marie Étienne, dans lequel une maison au bord d’une falaise est construite partiellement au-dessus du vide (1). On reconnaîtra d’autres constantes, la notation de rêves, l’attention aux détails du quotidien, l’introduction du nom des créateurs appréciés, cinéastes (Medvedkine, Renoir, Buster Keaton…) et écrivains (Virginia Woolf, Boulga...
Un cheval nocturne
Article publié dans le n°1132 (16 juil. 2015) de Quinzaines
Cheval d'octobre
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