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Un cheval nocturne

Dans le Paris du XXe arrondissement, entre réel et imaginaire, rêves et souvenirs, le livre de Marie Étienne est à la fois chronique attentive de la vie ordinaire et série de réflexions mélancoliques sur la vie comme elle est.
Marie Etienne
Cheval d'octobre

Ce qui retient d’abord, c’est la continuité de l’œuvre. Ainsi, dans un de ses rêves, le lit du personnage au centre du récit, Bart glisse « pour s’engager sur la falaise qui côtoyait sa chambre », rêve proche d’un « conte » de Marie Étienne, dans lequel une maison au bord d’une falaise est construite partiellement au-dessus du vide (1). On reconnaîtra d’autres constantes, la notation de rêves, l’attention aux détails du quotidien, l’introduction du nom des créateurs appréciés, cinéastes (Medvedkine, Renoir, Buster Keaton…) et écrivains (Virginia Woolf, Boulga...

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