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Poutine a décrit avec force détails, en juillet 2021, la place que l’Ukraine doit occuper dans la Grande Russie. Pour cela, elle doit être purgée de l’ultranationalisme qui l’empoisonne depuis près d’un siècle, et dont les rejetons sont nommés « banderistes » et « nazis » dans la mesure où ils n’ont cessé de lutter contre l’URSS. Or depuis 1991 l’Ukraine a choisi une voie médiane : ni la subordination à la Russie (malgré la prise de la Crimée, qu’elle n’accepte pas), ni un nationalisme étroit (d’où ses demandes répétées d’adhésion à l’Union européenne). Son union face à l’inv...

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