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À Éric Holder


Que l’industrie du bonheur soit un lucratif instrument de propagande au service d’elle-même et de l’abêtissement par la réussite, on n’avait pas attendu Happycratie[1]pour s’en rendre compte. Mais la lecture de cet essai étoffe et étaye mes griefs envers cette idéologie-machine à fric, qui promeut la dictature du bien-être, la psychologie positive, les prestations de coaching, le self-help et autres conneries sournoises visant à nous...

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