Serge Ritman

« Un poème de nous où l’amour peut vivre »

Tu rejoins je : « s’embrassent ici, nos lèvres ». Tu pars, (t’en) vas, je (va)cille d’émotion, nos lèvres se retrouvent dans l’absence annoncée, tentant son annulation dans l’annulation du je. Resu...

« Je vais là où ça commence » Entretien avec Serge Ritman

Gérard Noiret : Avec Tu pars, je vacille, j’ai eu l’impression d’être emporté. Es-tu d’accord avec l’idée que quelque chose s’est ouvert dans ton écriture ? Serge Ritman : Avec ce livre, j’ai vrai...