Elle n’aura plus de nouvelles d’eux. Lorsque, à la fin de la guerre, elle tentera de savoir ce qu’ils sont devenus, ses lettres lui reviendront avec la mention « n’habite plus à l’adresse indiquée ». Elle sera contrainte de croire à « l’horreur » racontée par les journaux, au camp de la mort installé aux portes de Lublin, à Maïdanek, et aux « fours où l’on brûle jour et nuit des victimes ».
Avant d’avoir cette certitude, Lena conserve un peu d’espoir, l’absence de communication rendant plausibles toutes les hypothèses, mais l’inquiétude reste en arri...
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