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Cette place vide, la sienne

Une non-existence plus une non-existence… donnent… quoi ? L’amour sans le faire. Après "L’Homme qui ne savait pas dire non", Serge Joncour met en scène deux personnages qui ne savent pas dire oui. 
Serge Joncour
L'amour sans le faire

Au début, ce qui frappe, et dès la première page, c’est une certaine désinvolture de la langue. Voici çà et là des propositions adverbiales ou des adverbes mal ajustés, comme si on avait affaire à une traduction maladroite de l’anglais : « Il reprit dangereusement l’appareil. » Comment peut-on prendre le téléphone dangereusement ? Périlleuse formulation. Ou : « […] il se représentait ce décor oublié là-bas, le téléphone au fond du couloir, la maison isolée, vide peut-être, par distraction il revisitait mentalement l’endroit mais finalement ...

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