Au début, ce qui frappe, et dès la première page, c’est une certaine désinvolture de la langue. Voici çà et là des propositions adverbiales ou des adverbes mal ajustés, comme si on avait affaire à une traduction maladroite de l’anglais : « Il reprit dangereusement l’appareil. » Comment peut-on prendre le téléphone dangereusement ? Périlleuse formulation. Ou : « […] il se représentait ce décor oublié là-bas, le téléphone au fond du couloir, la maison isolée, vide peut-être, par distraction il revisitait mentalement l’endroit mais finalement ...
Cette place vide, la sienne
Article publié dans le n°1068 (16 sept. 2012) de Quinzaines
L'amour sans le faire
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)