Certains d’entre nous se souviennent de la grande et grosse voix d’Ivan Rebroff chantant « Ah, si j’étais riche », extrait de la comédie musicale Un violon sur le toit, également porté à l’écran en 1971.
À l’origine de ces différentes adaptations figure un roman yiddish intitulé Tévié le laitier, l’œuvre la plus célèbre de Sholem Aleikhem, pseudonyme de Sholem Rabinovitch (1859-1916). Le romancier émigra en 1905 pour Genève, puis New York, où il poursuivit ses écrits uniquement en langue yiddish.
Ces treize histoires courtes ont pour trame le calendrier ...
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