À l’instigation de Pierre Nora, l’ouvrage commençait à prendre forme sous la plume de son auteur, que la maladie freinait dans son élan. Seule Dominique Goy-Blanquet, sa « camarade en Shakespeare », était en mesure d’entrer en conversation posthume avec celui qui fut son directeur de thèse avant qu’elle devienne sa collègue et son âme sœur dans les recherches shakespeariennes, sans trahir sa pensée, ni tromper son public.
Il en découle un montage magistral en six parties, une organisation de documents – vingt-huit chapitres en tout, chacun d’entre eu...
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