Jean-Michel Gentizon : Qu’est-ce qui, dans l’exercice de la médecine, peut ouvrir à la littérature ?
Jérôme Garcin : Je suis bien placé pour répondre à cette question car mes deux grands-pères, l’un neurologue, l’autre pédopsychiatre, avaient fait ce qu’on appelait alors leurs « humanités ». Si la médecine était leur vocation, la littérature était l’alliée de cette vocation. Ils n’imaginaient pas, lors de leurs années d’apprentissage, apprendre à soigner sans passer, sans s’élever par l...
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