La Securitate l’a torturée mentalement au cours d’interrogatoires quasi quotidiens, pour lui faire payer son refus de collaborer avec les services secrets. « Seule la langue allemande possède le verbe qui décrit parfaitement leur technique : "Zerrüttung", à savoir "réduire à néant par un long processus d’effilochage..." », confesse-t-elle lors d’un entretien accordé en 2010 pour la parution en français de son roman, La Bascule du souffle[2].
Son livre, La Convocation
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