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Hommage aux traducteurs

L'allemand a une longue tradition de la traduction, depuis la Bible de Luther et le Shakespeare de Tieck et Schlegel, et le président fédéral Joachim Gauck a tenu, lors d'une soirée au château de Bellevue, le 27 mai dernier, à rendre hommage aux traductrices et traducteurs littéraires. Jean-Yves Masson a bien voulu attirer l'attention de la Nouvelle Quinzaine littéraire sur ce texte, Georges-Arthur Goldschmidt a pris sans tarder contact avec le cabinet du président (le Bundespräsidialemt), qui nous a transmis cette traduction officielle du discours. Rappelons que le président Gauck est une personnalité respectée qui exerce dans le système constitutionnel allemand un rôle essentiellement honorifique. Il nous a semblé que la NQL, si attentive aux travaux de traduction, pouvait donner à lire à ses lecteurs ce bel hommage d'un homme politique à la littérature.

Je ne peux résister à l’évocation d’une facétie pour ainsi dire théologique dans le monologue de Faust, trop souvent ignorée à mon humble avis.


Lorsque Faust croit enfin avoir trouvé sa traduction du prologue de l’Évangile selon saint Jean en écrivant « Au commencement était l’Action », c’est à ce moment précis que le diable lui rend visite ! Ou pour être plus précis : le barbet qu’il a recueilli se « traduit » lui-même, et devient Méphistophélès : 

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