Je déchiffrais les lettres de la une, qui nommaient les écrivains en première ligne, comme les affiches de l’Olympia, quelques années plus tôt, territoire pour moi de la fascination. Chaque programmation du music-hall de Bruno Coquatrix était à mes yeux un programme de rêve. Il n’y avait pas de gloire inatteignable, puisqu’il y avait le haut de l’affiche…
Une idée de la gloire que La Quinzaine de Maurice Nadeau a fait voler en éclats. Si elle était, tout autant que l’Olympia, porteuse de rêve, c’était moins celui d’une vie vouée aux paillettes que tournée vers une exigen...
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