Certains hommages peuvent certes faire sourire, comme celui de l’impératrice d’Autriche Zita de Habsbourg, qui attribue à l’empereur François-Joseph et à son époux l’Archiduc (et futur empereur) Charles une volonté farouche d’empêcher la guerre, et les met dans son journal sur le même plan que « le grand socialiste Jean Jaurès, qui, en France, avait tout fait pour empêcher la guerre ». Mais ces hommages naïfs sont l’exception. Les va-t-en-guerre (surtout ceux qui ne partaient pas), dans l’unité entre socialistes et réactionnaires, utilisent, dès le 1er août ...
Jaurès au fil du temps
Article publié dans le n°1095 (16 déc. 2013) de Quinzaines
Jaurès 1859-1914 La politique et la légende
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