A lire aussi

Jean-Pierre Rochat, disciple indiscipliné de Ramuz

À intervalles réguliers, la littérature fait naître des voix d’écrivains qui résonnent différemment. Des figures marginales en apparence, mais qui peu à peu se révèlent typiques, ou du moins caractéristiques d’une époque, d’une mentalité, d’un pays. Des auteurs qui revendiquent farouchement leur liberté mais sans le crier sur les toits, qui se contentent d’écrire, patiemment, obstinément. En Suisse, on pense évidemment au grand Ramuz, ou à Jean-Marc Lovay, dont l’œuvre hors normes s’est construite, depuis la fin des années soixante, en rupture avec les attentes du grand publ...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine

Vous aimerez aussi