A lire aussi

« Je ne me suis jamais limité aux auteurs suisses ». Entretien avec Jean-Pierre Rochat

Paysan et écrivain, Jean-Pierre Rochat vit dans le Jura bernois, à quelques kilomètres de la ville bilingue de Bienne. Né à Bâle en 1953 d’un père francophone et d’une mère germanophone, Rochat a connu une jeunesse turbulente avant de trouver sa vocation dans l’agriculture et l’élevage de chevaux, mais aussi dans l’écriture qu’il pratique depuis ses 10 ans.

Comment en êtes-vous venu à l’écriture ? Vous êtes paysan et écrivain, n’est-ce pas difficile de gérer ces deux activités ? 


Jean-Pierre Rochat : Enfant, j’étais un garçon agité, insoumis. Mon institutrice m’a donné des pages à recopier en guise de punition. Rapidement, je me suis rendu compte que cela allait plus vite si j’inventais mes propres histoires. Et l’institutrice m’a encouragé à poursuivre, elle a corrigé mes textes. Depuis, je n’ai quasiment pas arrêté d’écrire, sauf durant une dizaine d’années où j’avais un élevage de chevaux, ...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine

Vous aimerez aussi