« À toi, cher Maurice, ce Kampuchéa, et mon amitié ». À toi, cher Patrick, cette tentative de rendre compte de ce nouveau livre que tu m’envoies à peine débarqué d’un nouveau long voyage et où, de nouveau, tu m’apparais tout entier.
Je venais de lire le dernier de tes ouvrages, Equatoria, quand je vins vers toi, ce jour de mai, à Fontevrault, où s’entretenaient les admirateurs de Malcolm Lowry et de son Au-dessous du volcan, et te saluais d’un ironique : « Curieux, comme vous ressemblez à Barbusse ! » qui te laissa interloqué. Tu es tro...
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