Voici d’abord un des plus anciens interprètes, celui que l’on appelait en France drogman quand il se spécialisait dans les langues orientales : il était chargé de la traduction dans les échanges entre les représentants des puissances européennes et ceux de la Sublime Porte. C’est l’interprète au sens le plus banal et quotidien du mot, que l’on trouve aujourd’hui partout dans les institutions et rencontres internationales, mais aussi le traducteur qui, sans être toujours bien payé, traduit des œuvres écrites dans une langue étrangère.
À côté de lui, assis évidemment sur une plus h...
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