Sur le même sujet

A lire aussi

La porte a tourné trop vite

J’ai tapé « roman/stupide » sur Google. Apparemment, il n’existe que trois romans contenant le mot « stupide » dans leur titre : Mon chien Stupide, de John Fante, Comment je suis devenu stupide, de Martin Page et celui-ci. C’est peu, donc c’est bien.
Christophe Donner
Quiconque exerce ce métier stupide mérite tout ce qui lui arrive

J’ai tapé « roman/stupide » sur Google. Apparemment, il n’existe que trois romans contenant le mot « stupide » dans leur titre : Mon chien Stupide, de John Fante, Comment je suis devenu stupide, de Martin Page et celui-ci. C’est peu, donc c’est bien.


« Stupide » vient du latin « stupidus », engourdi, paralysé. C’est assez décalé, car le personnage principal du livre, celui qui exerce le fameux « métier » – producteur de cinéma – est l’inverse d’un homme paralysé. C’est un type très intelligent et très mobile,...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine

Vous aimerez aussi