Les deux types d’ouvrages ont leurs qualités. Pour une lecture synthétique, signalons tout de suite l’ouvrage de Mikaël Nichanian, Détruire les Arméniens : Histoire d’un génocide (Puf). On assiste aussi à un mouvement de traduction (plus ardue qu’on ne croit) d’ouvrages, en particulier à partir de l’anglais, langue dans laquelle la production historiographique, juridique, anthropologique, est très importante. Le sujet donne lieu, enfin, à des réflexions de philosophie politique, voire à des élaborations esthétiques, clairement situées dans le champ littéraire, qui renforcen...
Le centenaire du génocide arménien
Article publié dans le n°1132 (16 juil. 2015) de Quinzaines
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)