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Le Kafka de Primo Levi

Lorsque Kafka lisait ses textes à voix haute, ses amis, hilares, se demandaient comment il avait pu inventer pareilles choses. Où diable était-il allé chercher ces histoires d’hommes-cafards jetés aux ordures ? Comment avait-il pu imaginer une cruauté aussi imbécile, aussi improbable ? En 1947, lorsque Primo Levi publie le récit de sa détention à Auschwitz, Si c’est un homme, il clôt son introduction par cette phrase ironique : « Il me semble inutile d’ajouter qu’aucun des faits n’y est inventé ». Kafka par sa fiction et son traducteur Primo Levi par son récit se sont t...

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