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L’intégralité de l’œuvre de Franz Kafka semble traversée, voire peut-être hantée, par un implacable besoin d’excavation. Du moins semble-t-elle placée sous le signe d’une interminable exploration souterraine. C’est tout naturellement en autodidacte décomplexé, se jouant de toutes les règles, conventions ou mesures de sécurité en vigueur, qu’il s’enfonce à l’aveugle dans les tréfonds de l’âme humaine. Il lui arrive, en effet, dans ses Cahiers où il consigne notes, aphorismes et diverses ébauches de nouvelles, de se trouver réduit à user de ses griffes et de son museau pour creuse...

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