Mon retour dans le giron de La Quinzaine littéraire m’offre l’occasion de dire en peu de mots toute la reconnaissance que je porte à Maurice Nadeau. Je vois encore très bien le jour des années 1960 où, sur le tourniquet d’un petit tabac-presse de Rennes, le journal me fit signe. Il devint dans ce fin fond provincial où allait se créer TXT puis Littérature, une boussole, un portulan précieux, non loin de Critique et de Tel Quel. Je venais de publier La France frénétique de 1830 et Hubert Juin, cet étonnant lecteur, avait souhaité que j...
Le regard de Jean-Luc Steinmetz
Article publié dans le n°1037 (01 mai 2011) de Quinzaines
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