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Le temps d’éclore. « En relisant Pavese »

« La poésie écrite vaut une fois et ensuite qu’on la détruise » (Antonin Artaud). Mais certains poèmes n’ont jamais eu la possibilité de servir. Pourquoi les avoir conservés ? Ces textes non publiés le sont rarement en raison d’un refus. Ils disent quelque chose de profondément ambigu sur leur auteur, modeste et égoïste, à la fois. Venu le temps d’éclore, des poètes s’expliquent sur la naissance de ces textes mûrs.

« En relisant Pavese » fut écrit suite à la lecture d’une anthologie traduite et composée en espagnol par mon ami le poète argentin Rodolfo Alonso. D’où la dédicace.


Habituellement, je n’écris pas de poèmes isolés mais des séries qui s’enchaînent et finissent par former des suites unitaires d’une certaine longueur. Il s’ensuit que les rares textes venus séparément, comme ils ne s’intègrent pas à un ensemble plus vaste, restent sur le côté. « En relisant Pavese » est de ceux-là.


Par ailleurs, le ton de ce poème, très marqué par celui de Travailler fatigue de Paves...

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