Sur la quatrième de couverture, l’auteur fait commencer son livre au troisième chapitre, consacré aux étudiants et au péri-salaire. Mais on ne peut négliger les deux premiers, l’un sur les flexibilités à travers l’exemple du bâtiment, l’autre sur le travail intermittent avec l’exemple de la distribution culturelle.
Dans le premier chapitre, Cingolani présente en quelque sorte le degré zéro du travail en entreprise, avant la chute dans le chômage temporaire ou permanent et dans l’errance des sans-abri. Si ces derniers sont encore 230 000 en France, avec beaucoup d’étrangers, les c...
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