Si l’esprit de finesse (le wit anglais et l’esprit français) de Jean-Luc Nancy n’est plus à démontrer, s’il sait reconnaître dans le Witz une pièce maîtresse du dispositif analytique, il n’y voit pas moins une pièce obligée de la littérature résolument moderne (toujours, au moins en partie, indétachable d’une « tradition » joycienne, que ce soit à travers le « nouveau roman » européen, à travers Faulkner, à travers Burroughs, ou même à travers Borges – pour limiter arbitrairement les références). Mais, en tant que tel, le Witz (qui se sé...
Le vouloir dire et l'inconscient
Article publié dans le n°1124 (16 mars 2015) de Quinzaines
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