Dans ce livre, Marie-Claire Bancquart évoque un épisode relatif à sa santé, dont l’issue incertaine l’a conduite jusqu’aux rives ultimes. Dès les premières pages, deux poèmes suggèrent l’atmosphère du livre : l’un a trait à un transport d’urgence vers l’hôpital ; le second manifeste de l’empathie à l’égard d’un cheval en route pour l’abattoir. Ainsi débute Qui vient de loin. Et le lecteur entend : « qui revient de loin », dans cette évocation de l’expérience tragique de celle qui a frôlé la mort. « J’apprenais que la mort n’était pas facile.
Les rives ultimes
Article publié dans le n°1174 (01 juin 2017) de Quinzaines
Qui vient de loin
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