Gabrielle Wittkop aura tracé son chemin, dans l’écriture comme dans la vie, en toute liberté. Polyglotte, érudite comme peu, sans être passée par les bancs de l’école, elle n’aura jamais rien négocié sur ses goûts, ses inclinations et ses choix intellectuels. Si elle n’a jamais hésité à afficher son homosexualité, elle s’est toujours refusée à en faire grand cas : dans une archive de « Bouillon de culture » datant de 2001, on la voit, irradiante, du haut de ses 80 ans, renvoyer gentiment dans les cordes un Bernard Pivot qui cherche à la pousser sur le terrain des détails c...
Wittcop en poésie
Article publié dans le n°1174 (01 juin 2017) de Quinzaines
Litanies pour une amante funèbre
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